Détérioration naturelle et détérioration forcée.

Détérioration naturelle et détérioration forcée.

Ce sont les deux types de détérioration des équipements que présente Kunio SHIROSE (JIPM : TPM for workshop leaders).

La détérioration naturelle est le vieillissement inévitable des composants, en dépit d’un entretien irréprochable. Pour mes lecteurs de moins de quarante ans pour qui la notion d’usure est moins sensible, prenez l’exemple des pneus de votre voiture qui s’useront même si vous êtes méticuleux.

Petite remarque au passage, si vous avez acheté « low-cost » une qualité médiocre, l’usure ou la performance de vos pneus (composants) risque de vous couter bien plus cher. Il y a donc des situations ou l’inévitable pourrait quand même être retardé.

La détérioration forcée ne devrait pas arriver. Pour les pneus, si vous driftez autour de tous les rond-points, même vos super-pneus ne résisteront pas longtemps. Pour un équipement industriel c’est souvent plus subtil… Une vis manquante sur six peut commencer d’induire une vibration ; (C’est pour cela que le fabriquant a mis autant de vis) ; un amas de copeaux dans un mécanisme, un fluide sur un contacteur… et maintes autres petites anomalies peuvent détériorer le matériel et conduire à des aléas graves. TRUE PEOPLE.

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